mardi 12 avril 2016

Les Brésiliens du PSG

Tout d'abord l'equipe-type des Brésiliens du Paris Saint-Germain puis une liste complète des joueurs. Et enfin, quelques vidéos.



Le pas tout-à-fait 11 des Brésiliens du PSG (en effet pas de gardien) :

"Equipe-type" des Brésiliens du PSG

Une liste "plutôt complète", l'essentiel y est :

Défenseurs (centraux) :

Ricardo Gomes (1991-1995 puis entraîneur 1996-1998). Vivement encensé par un Michel Denisot alors commentateur d'un OM-Benfica Benfica-OM, mémorable quart-de-finale de Coupe d'Europe, le club pouvait s'enorgueillir d'avoir fait signer le Brésilien au début de la saison 1991-92. Il aura dirigé la défense Parisienne avec rigueur tant au point de vue du marquage de ses adversaires que dans la relance durant quatre saisons exceptionnelles. Si les deux dernières furent plus difficiles en raison de blessures récurrentes, Ricardo, terreur des attaquants adverses, restera comme le chef de défense emblématique toutes générations confondues d'un club pour lequel il a donné le maximum.
154 matches avec PSG, demi-finaliste de la Coupe de L'UEFA 1993 puis de la Coupe des Coupes en 1994 et de la Champions League en 1995 il remporte, sur la scène nationale,  le championnat de Division I en 1994 et une Coupe de la Ligue en 1995 (ne participe pas à la Finale de Coupe de France victorieuse en 1995). 48 séléctions, 4 buts avec la Seleçao dont il fut le capitaine.

Thiago Silva (à Paris depuis la saison 2012-2013). Simplement l'un des meilleurs défenseurs jamais vu dans le championnat de France, technique et bon défenseur qui passa par l'AC Milan où il s'était imposé aux côtés d'un Nesta avec lequel il ne souffrait pas la comparaison. Champion de France 4 fois de suite 2013-2016, il faut ajouter à son palmarès français deux Coupes de la Ligue et une Coupe de France (2015). Il fut capitaine de la Seleçao dans laquelle il n'a pas été rappelé depuis la Coupe du Monde 2014, disputée dans son pays. Il totalise 59 séléctions à ce jour (4 buts inscrits).

David Luiz. Il rejoint son ancien (pour le moment du moins) partenaire de la charnière centrale de la sélection brésilienne à Paris en 2014, à l'issue du mondial. International encore récemment convoqué par Dunga, il compte 56 séléctions (3 buts) à ce jour. Vainqueur d'un doublé Coupe-Championnat en 2015, et d'un nouveau Championnnat en 2016, si ses récentes prestations laissent à désirer sur le plan défensif, nul doute que son apport offensif reste une arme redoutable. A double-tranchant.

Alex, Alex Rodrigo Dias da Costa. Recrue de Leonardo au mercato hivernal 2011-2012, il rejoint à Paris Ancelotti, déjà coach du colossal défenseur brésilien à Chelsea pour obtenir immédiatement une place de titulaire en lieu et place de Mamadou Sakho. Il fait dès lors bénéficier à l'équipe de son expérience d'international et de joueur rompu aux joutes européennes en formant une charnière de premier ordre avec Thiago Silva (avec quelques buts au passage comme dès son deuxième match face à Montpellier, contre l'OM deux mois plus tard ou contre Bordeaux lors du trophée des Champions 2013). Jusqu'à la fin d'un contrat qui ne sera pas renouvelé en fin de saison 2013-2014. Il rejoint alors Milan tandis que Paris fait venir David Luiz. Pas sûr que le PSG ait gagné au change.

Joel Camargo. Premier brésilien à revetir les couleurs parisiennes pour la première saison en D1 du PSG en 1971, il arrive au club en provenance de Santos précédé d'une flatteuse réputation. Ce joueur de complément de la Seleçao championne du Monde à la Coupe du Mexicaine de 1970 (entre 25 et 30 sélections tout de même) ne dispute que deux matchs avant de retourner au Brésil au modeste club de Saad pour y terminer sa carrière. Il  avait 35 ans au moment de sa signature.

Abel Braga. Le second défenseur brésilien à évoluer au PSG. Il évolue au club de 1979 à 1981 après avoir participé au Mondial argentin. S'il joue bien plus de matchs que Joel son prédecesseur (près d'une cinquantaine de matchs), il en dispute bien moins qu'il aurait pu s'il n'avait pas été autant sujet aux blessures. Un bilan plutôt mitigé de ce fait mais pas forcément à cause de ses performances d'ensemble plutôt bonnes voire très bonnes. Signe à l'OM comme entraîneur en juillet 2000 pour être limogé quatre mois plus tard.

Geraldão. Au PSG lors d'une unique saison, la saison 1991-1992. Le tout nouvel entraîneur d'alors, le portugais Artur Jorge, l'avait emmené dans ses bagages en provenance du FC Porto. Mais celui qui fut sélectionné 8 fois en Equipe nationale avant son départ pour l'Europe ne se sera pas imposé au PSG comme il avait pu le faire dans son précédant club où il faisait prévaloir son physique (1 m. 94 au garrot!) et ses lourdes frappes (12 buts dans le championnat portugais 1990-1991!). Mais de tout ça, à Paris, on a rien vu.

Défenseurs (latéraux) :

Ceará. Arrière latéral et pasteur évangélique, on retiendra de lui son activité sur le coté droit des terrains de football, aussi précieuse sur un plan offensif que sur un plan défensif, bien souvent. Ce presque sosie de Cafu, de loin, de dos, remporte la Coupe de la Ligue  mais perd en Finale de la Coupe de France en 2008 avant de la gagner en 2010 puis de perdre le titre en 2011. En ce qui concerne le championnat, nous releverons le titre officieux de vice-champion 2011-2012.

Maxwell. Un joueur de qualité, encore champion de France en 2016, qui atteint la fin de carrière. Arrière gauche brésilien typique dans l'expression offensive mais également très sûr défensivement, il aura surtout impressionné par sa technique individuelle tant elle fut (et est toujours) supérieure.

Défenseur central ou latéral (à moins que ce ne soit plutôt l'inverse) : 

Marquinhos. Jeune défenseur central arrivé de l'AS Rome, il est utilisé avec parcimonie par Laurent Blanc et le plus souvent en tant qu'arrière latéral, les postes de centraux étant dévolus à Thiago Silva et David Luiz.

Milieux de terrains, milieux offensifs :

Valdo. Arrivé en 1991 en même temps que Ricardo et Geraldão, ce milieu de terrain à la fois meneur de jeu et relayeur mais pas tellement défensif était un maître és coup-de-pieds arrêtés. Surtout depuis le point de corner d'où il distillait des passes décisives à foison, spécialement en Coupe d'Europe où l'ancien joueur de Benfica fît parler son expérience et contribua grandement aux bons parcours successifs du PSG dans les différentes compétitions de l'UEFA. Et comment ne pas mentionner son but somptueux réalisé contre le Real lors de la victoire face au Real en 93 : feinte de frappe qui met à terre Ricardo Rocha (le faux Ricardo) et frappe en finesse pour battre Buyo.
Métronome d'un PSG où il a fait notamment briller le duo Weah-Ginola, il retourne à Benfica en 1995 après avoir rendu ses services et contribuer à faire grandir le club durant quatre saisons.

Raï (avec un tremas comme on l'écrivait bien souvent en France,  l'effet "didi" de Khaled surement). Avant de devenir l'une des figures emblématiques du club de la capitale, Raí Souza Vieira de Oliveira, le frère de Sócrates (Sócrates Brasileiro Sampaio de Souza Vieira de Oliveira) dût passer par une période d'adaptation délicate à son arrivée en France (saison 1993-1994). Mais après 6 mois, voire toute la première saison à errer sur le terrain ou à simplement "cirer le banc" ou prendre place en tribunes pour mieux voir son compatriote Valdo diriger le jeu du PSG, Raí fera par la suite de plus en plus valoir les qualités de footballeur qui un jour en firent un capitaine de la Seleçao ainsi que sa personnalité exemplaire au point de s'imposer comme le joueur numéro 1 du club. A partir de 1995, et le départ des Valdo, Weah, Ginola.
S'il dût quitter prématurément ses coéquipier en Finale de Coupe des Coupes face au Rapid de Vienne en 96, il est bien de ceux qui remportèrent la première Coupe d'Europe pour Paris (et toujours dernière en date), point d'orgue de sa carrière parisienne, plus à un niveau collectif que personnel. Mais l'homme est collectif.
Ce numéro 10 ou attaquant au timing parfait tant dans le jeu aérien que dans la passe aura marqué principalement par ses performances dans les coupes nationales et européennes post-95 qui permirent au PSG de rester en haut de l'affiche pour quelques années encore mais aussi par un état d'esprit irréprochable et une classe naturelle indéniable.

Ronaldinho. Joueur prodige de 21 ans qui fait parler de lui dans le monde entier, c'est pour Paris et le PSG que Ronaldinho quitte sa ville de Porto Alegre et son club de Grêmio en 2001. Il y paraphe un contrat de 5 ans mais n'y restera que deux saisons. Faites de hauts comme ses prestations face à l'OM, et de mises à l'écart de l'équipe titulaire par son entraîneur Luis Fernandez qui ne goûte que  très peu à la propension de l'attaquant brésilien à faire la fête, en particulier comme qui dirait dans le "contexte des nuits parisiennes" (on a vu pire comme contexte pour  faire la fête mais c'est vrai kcé pas bien, enfin il a raison Luis...).
Garrincha était surnommé "Alegria do Povo" (la Joie du peuple), le surnom conviendrait bien à notre Ronnie également tant il incarne le foot spectacle, le foot samba. Barcelone saura en profiter et réciproquement.

Champion du monde 2002 quand joueur du PSG, il ne remporte pas le moindre titre avec le club fançais (battu en finale de la Coupe de France en 2003 par Auxerre).

Leonardo (Araújo). Le champion du monde 1994 (resté célèbre pour son expulsion face aux Etats-Unis lors de la compétition) est engagé par le PSG en 1996 pour remplacer Youri Djorkaeff parti à l'inter Milan (bien que les deux joueurs aient un profil un peu différent). Ceci va bouleverser la carrière du Brésilien de 26 ans qui jouait depuis deux ans dans la J-League (Japon). En effet, après 1 saison passée dans la cité francilienne (sous la houlette de Ricardo), Leonardo sera engagé par Milan la saison suivante et évoluera dans la Serie A italienne, avec succès, jusqu'en 2001. Resté en contact avec le club lombard, il en deviendra le directeur technique en 2003 et même, un temps, l'entraîneur. Il exercera cette même fonction de "directeur technique", comprendre celui qui, principalement s'occupe des transferts de joueurs dans son cas (l'homme s'est constitué un important réseau) au Paris Saint-Germain version qatarienne de 2011 à 2013 permettant les arrivées au club des Ménez, Pastore, de l'entraîneur Carlo Ancelotti, de Thiago Silva et d'Ibrahimovic, tous en provenance de la Série A  ou encore de David Beckham à l'hiver 2011-2012. Pas un mince service rendu au club.
Quand au joueur parisien qu'il fut, on se souviendra d'une première demi-saison formidable de la part de ce brillant milieu offensif et d'une seconde partie plutôt décevante, surtout au vu des promesses affichées dès son arrivée au club, et de la qualité de ses prestations jusqu'à la trêve. Paris ne terminera que "vice-champion" assez loin derrière Monaco. Enfin, il fait partie de l'équipe qui a disputé la finale de Coupes des Coupes 1997 mais pour y perdre son titre face au FC Barcelone de son compatriote Ronaldo.

Lucas Moura. Jeune recrue (20 ans) de Leonardo en août 2012 pour un transfert au montant record au Brésil, le Pauliste (qui peut compter sur le soutien de Rai) est un joueur de type ailier, au dribble déroutant, qui incarne alors l'autre futur grand talent brésilien avec Neymar du Santos FC qu'il affronte du reste depuis les catégories jeunes. D'ailleurs, pendant longtemps, "l'autre" c'était plutôt Neymar puisque Lucas sortait le plus souvent vainqueur de leurs duels, très suivis au Brésil. L'on sait depuis que Neymar, aujourd'hui au FC Barcelone, est désigné comme le successeur annoncé de Lionel Messi comme joueur numéro 1 du club blaugrana (à moins que Paris ne parvienne à l'engager mais celà devrait se réaliser ainsi) tandis que Lucas reste un joueur de niveau très moyen du fait qu'il peine à finir correctement ses actions. Il reste néanmoins un "joker" intéressant pour Paris, et s'il est conservé dans l'effectif, il reste un joueur de 23 ans seulement qui peut encore faire taire ses détracteurs en ajoutant à une technique individuelle exceptionnelle plus de réalisme devant le but et surtout, ce qui est peut-être d'avantage nécessaire pour la progression de son jeu, plus d'intelligence collective.

Attaquants :

Christian. Engagé en 1999 à l'âge de 24 ans en provenance du SC Internacional, cet attaquant qui compte quelques sélections en Equipe du Brésil (plus jeune joueur brésilien à la Copa America 99) connaît une fort honnête première saison au PSG avec 16 buts inscrits dont un triplé face à Metz et un quadruplé face à Strasbourg. Malgré des débuts difficiles, il trouva son rythme de croisière après quelques semaines à la pointe de l'attaque parisienne. Et puis plus rien. La saison suivante sera une saison quasi-blanche avec 4 petits buts inscrits en 24...apparitions. Anelka, de retour au club lui est préféré, l'association des deux hommes est rare. Bordeaux l'engage néanmoins en 2001 pour pas moins de 12 millions d'Euros, sans meilleur résultat. La carrière française de Christian s'achève à l'hiver 2011-2012 avec un transfert vers Rio de Janeiro et Palmeiras. La suite ne sera jamais guère brillante pour lui.
Il figure néanmoins dans notre "équipe-type" faute de concurrence et pour ses 15 buts inscrits d'Octobre 1999 à Mars 2000.

Nenê. Arrivé au club en provenance de Monaco 1 an avant les Qataris (en 2010), il est l'auteur d'une excellente première saison au cours de laquelle il explose ses records individuels au classement combiné buts/ passes décisives (14+7). Il fait ainsi partie du 11 de la saison de l'UNFP en fin d'exercice 2010-2011 aux côtés des lillois Gervinho et Hazard. Au niveau collectif Paris termine 4ème en L1 (Lille champion) et finaliste malheureux en Coupe.
Parfois mis en concurrence avec les nouvelles recrues Ménez et Pastore lors de la saison suivante, Nenê continue de casser des records avec 21 buts et 11 passes décisives (2ème au classement des buteurs et 4ème au classement des passeurs de L1, et 11 de l'UNFP une fois encore). Paris ne termine néanmoins que second du championnat derrière Montpellier et son duo Giroud-Belhanda. 
La saison 2012-2013 sera sa dernière au club. Le PSG remporte le titre avec son nouveau joyau, Ibrahimovic et sans Nenê, relégué au rang des inutiles, et qui partira d'ailleurs dès le mercato d'hiver, au Qatar.


Terminons de passer en revue les joueurs brésiliens passés par le PSG avec dans un premier temps les "peut-on vraiment parler de flop?" et les "flops".

Peut-on vraiment parler de flop concernant Armando Monteiro, certainement pas. En revanche, on peut raconter l'histoire de son arrivée au club en cours de saison 1973-1974, année de remontée en D1 et c'est ce que l'on va faire en lisant l'extrait suivant puisé dans PSG 1981-1982 par Francis Le Goulven et Ichah Robert, éditions PAC, Paris, 1981, pp.35-40.

Un matin d’entraînement, Just Fontaine regarde ses joueurs effectuer les exercices préparés pour la séance du jour. Cigare en bouche, il voit débarquer un inconnu aux abords du terrain. Celui-ci ne tarde pas à engager la conversation, d’une manière plutôt étonnante :

-M. Fontaine, mon nom est Monteiro.

-Je n’y suis pour rien !, rétorque Fontaine, visiblement interloqué.

-Mon nom, M. Fontaine, ne vous dit rien. Mais, j’ai été international junior, dans mon pays, le Brésil. Et...

-Et ? ...

-... Et je voudrais bien jouer au Paris Saint-Germain !, affirme Monteiro.

-S’il n’y a que cela, la chose peut s’arranger. Mais il faudra quand même que tu me donnes un échantillon convaincant de ton talent. Des types qui ont été internationaux de ceci ou de cela, j’en rencontre tous les jours. Mais des gars qui savent à peine lacer leurs chaussures de foot aussi. Les mêmes, en général, plaisante l’entraîneur du PSG.

Après avoir écouter ce prétendu joueur, et avoir appris qu’il est spécialiste de l’aile gauche, Fontaine se décide à le voir à l’œuvre.

-je vais te donner un paire de chaussures et, tout à l’heure, tu feras voir, lui dit-il.

Au terme de cette discussion assez improbable, le Brésilien effectue un essai devant l’équipe dirigeante du club de la capitale. Il réussit à convaincre Just Fontaine de le garder en faisant preuve d’une technique correcte.

-Bon, conserve les chaussures et le reste et viens à l’entraînement, demain.

"Il aura donc suffi d’un essai de quelques minutes pour qu’Armando Monteiro intègre l’effectif du PSG. Vraisemblablement, la paire de chaussures offerte a fortement joué dans l’acceptation d’un contrat fort peu juteux. Bien que n’ayant que peu joué durant l’année passé à Paris (9 matches, 5 buts), Armando Monteiro laisse un bon souvenir à ceux qui l’ont côtoyé. Tous s’accordent à dire qu’il était toujours à l’écoute et très professionnel." (sortiraparis.com)

Bien, et puis nous incrirons tous les autres à la rubrique "flops" bien que certains on été surement pires que d'autres mais au final, bon c'est tous des flops car si on comprend bien le terme, soit on est un flop, soit on est un top. Contentons-nous de les citer : alors pour commencer, Christian pourrait tout aussi bien figurer ici, parmis les flops. José Aloisio n'a peut-être pas été non plus si catastrophique que ça... (question) mais on le citera ici. Pour le reste no comment avec donc pour continuer la liste celui qui formait un formidable duo d'attaque avec le dernier nommé à Saint-Etienne mais qui a plus que peiné à confirmer à Paris, il s'agit bien d'Alex Dias. Mais aussi : Adaïlton (un petit comment, il s'en est plutôt bien sorti par la suite en Italie), Vampeta (no comment vraiment là), André Luiz, César Belli...non c'est pas fini....un certain Edmilson (pas le même que celui qui joua à Lyon), Paulo César (pas le même qui joua un temps à l'OM dans les années 70), Reinaldo (2003-2005, bon il avait un vrai potentiel, mais pas de commentaire c'est vrai), bon et puis le top des flops (encore un commentaire décidément) Everton et Souza, en 2007. Et on ne parlera pas d'un certain Gustavo, d'un certain Denilson et d'un certain Charles Mallman qui n'ont qu'à peine joué en réserve ou pas du tout. Et puis il y eu donc aussi Joel Camargo et ses deux matches qui ont convaicu le PSG de le laisser partir.

Ainsi, on aura finalement recensé 32 joueurs brésiliens passés par le PSG.


Et l'on préferera se souvenir du passage de ces joueurs-ci, par exemple : Raï et Ronaldinho. Et même d'en revoir des images.

Un top 10 des buts de Rai au PSG :


Le dernier match de Rai pour Paris :


Ronaldinho :



Rai, Ronaldinho et Nenê :




Voir aussi une liste assez complète des joueurs brésiliens passés par le championnat de France et le "11-type".

1 commentaire :

  1. Les meilleurs buteurs brésiliens du PSG en championnat :
    Raí : 51 buts
    Nenê : 36 buts
    Neymar : 35 buts
    Lucas : 34 buts

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