mardi 24 mars 2015

Ivory Coast National Team - Winner of the CAN 1992 & 2015.

Ivory Coast won his second continental trophy in the month of February of this year.
We can see this as the exact replica of the 92 edition for Côte d'Ivoire: a rather defensive formation in the knock-out stages (with 5 defenders) before opting for a 4-4-2/ 4-3-3 in the Final, around 20 pks to decide who's the winner (Côte d'Ivoire-Ghana again) and Copa Barry who scores his pk as Gouaméné himself had done. But that team scores 2 times 3 goals before the final, in 92 1 goal only (Zambia and Cameroon, early 90s...Cameroun were the World Cup heroes and now RD Congo and Algeria, 2014 World Cup heroes). Yeah, that's much common points.
One difference we can note however is that Copa Barry scored the winning penalty-kick when Gouaméné scored the penultimate goal of his team in the penalty shoot-out, Kouamé scoring the winner after Baffoe failed to convert his attempt. Now, overall, it's rather similar, isn't it? So what happened? The same sorcery has been used? The staff was inspired by what has been done by his predecessors? Both at once? 
Now I propose to leave these questions unresolved, to make room to mystery and just have a look at the two historical lineups that have offered the joy of victory to the whole Ivorian People.

La Côte d'Ivoire Championne d'Afrique 1992 & 2015.


La Côte d'Ivoire a remporté sa deuxième CAN en Février dernier.
Et on peut y voir l'exacte réplique de leur tournoi de 1992: une formation plutôt défensive durant la phase à élimination directe (cinq défenseurs alignés)  avant d'opter pour un 4-4-2/ 4-3-3 en finale (Côte d'Ivoire-Ghana de même), environ 20 penalties pour décider du vainqueur et Copa Barry qui marque son péno comme Gouaméné l'avait lui-même fait. Mais cette équipe-là marque deux fois trois buts avant la finale, en 92 un seulement (ils avaient affronté la Zambie puis le Cameroun, c'était le début des années 90...ce qui induit également la mise en place de défenses resserrées et en conséquent un allant plutôt modéré du point de vue de l'offensive...les camerounais étaient alors les héros de la Coupe du Monde et aujourd'hui en 2015 ils avaient affaire à la République Démocratique du Congo et à l'Algérie, équipe héroïque du dernier Mondial au Brésil). Et oui, ça fait beaucoup de points communs tout ça.
Enfin, une différence que l'on pourra souligner, c'est que Copa Barry a transformé le tir décisif tandis que Gouaméné, quant à lui, marquait l'avant dernier but de son équipe dans la séance de penalties qui voyait alors Kouamé inscrire le but victorieux qui faisait suite à l'échec de Baffoe. Bien, maintenant, le tout considéré dans son ensemble, c'est plutôt ressemblant non? Alors que s'est-il passé au juste? On a fait usage de la même sorcellerie? Le staff s'est inspiré de ce qui avait été fait par ces prédécesseurs ? Un peu de tout ça à la fois?
Maintenant, je propose de laisser ces questions en suspens, de laisser sa place au mystère et désormais, de juste jeter un oeil à ces deux 11 historiques qui ont su apporter la joie au peuple ivoirien tout entier.



CÔTE D'IVOIRE - CAN 1992
CÔTE D'IVOIRE - CAN 2015

































Notes: 
- Fofana, who unfortunately played injured in the First Round of the tournament and who couldn't play anymore in the knock-out stages was more of a supplementary striker (a dribbler, a winger) than a midfielder.
-  the 2015 team also included S.Kalou and Doumbia at times. But from the point of view of  the economy of the team in the whole competition we can't consider them as A-Team players. Anyway they were substitutes in the knock-out stages of the competition.

Notes:
- Fofana, qui malheureusement jouait blessé durant le premier tour et qui n'a pa pu participer à la dernière phase du tournoi était d'avantage un attaquant supplémentaire (un dribbleur, un ailier) qu'un milieu de terrain.
- S.Kalou et Doumbia faisaient aussi partie de l'équipe de 2015. Mais du point de vue de  l'économie de l'équipe durant la compétition toute entière nous ne pouvons pas les considérer comme des titulaires. Ils étaient de toute façon remplaçants durant la deuxième et dernière phase de la compétition.


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